Blouson

Posté le samedi 22 janvier 2011 à 17 h 42 min dans la catégorie « Croquis » par Bruno Bellamy.

Blouson

Bellaminette radioactive

Posté le vendredi 21 janvier 2011 à 11 h 28 min dans la catégorie « Croquis, Preview » par Bruno Bellamy.

Pour ceux qui l’ignoreraient encore, j’illustre chaque mois le nouveau Casus Belli !

It's in the air for you and me

La créature ci-dessus apparaît (finalisée, en couleurs et tout) dans le n°4, que vous pouvez (et devez !) vous procurer sans tarder, puisqu’il vient tout juste de paraître… 🙂

P'tite mousse

Posté le mardi 18 janvier 2011 à 15 h 53 min dans la catégorie « Couleur, Croquilembour, Croquis, News, Preview » par Bruno Bellamy.

Alors, la mauvaise nouvelle, c’est que je ne serai pas à Angoulême cette année…
Bah oui, c’est comme ça. J’ai pas de « nouveauté », et les temps sont durs…

La bonne nouvelle, c’est que vous pourrez quand même y boire une bière à ma santé, et pas n’importe comment : sur un sous-bock orné d’une magnifique bellaminette ! 🙂
P'tite mousse
Ce sous-bock fait partie d’une série de 10, issus de l’imagination de plusieurs auteurs de BD, et réalisés à l’initiative de Sceneario.com, éminent site web consacré au 9e art. Ils seront disponibles pendant toute la durée du FIBD (donc du 27 au 30 janvier) à Angoulême, au bar Latitude Pub, 8, Rue Raymond Poincaré, à Angoulême donc.

Bonne année ! :)

Posté le vendredi 14 janvier 2011 à 14 h 29 min dans la catégorie « Couleur, Croquis, News » par Bruno Bellamy.

Bonne année 2011 :)

Je vous présente (certes guère en avance, mais n’est-ce pas la moindre des choses pour une année du lapin ?) mes meilleurs vœux. 🙂

Fesses book

Posté le mercredi 29 décembre 2010 à 18 h 17 min dans la catégorie « Couleur, Croquilembour, Croquis, Humeur » par Bruno Bellamy.

Fesses book

Oh, certes, le calembour est facile, mais le prétexte est légitime, puisqu’il s’agit ici de célébrer le choix que j’ai fait de supprimer mon compte sur Facebook !
Les « rézosocios » m’énervent, et ne constituent à mon sens rien d’autre qu’un moyen de se saturer encore plus d’informations, au point que plus aucune information ne semble avoir de valeur ou de sens. Je n’en vois décidément pas l’intérêt, à part peut-être celui de savourer, lorsque cette impression de saturation est à son comble, la délectable interruption de ce flot absurde. C’est un peu comme le moment où on se décide à ne plus regarder la télé. 🙂

Accessoirement, c’est aussi un acte de « remise à zéro » salutaire, un moyen comme un autre de faire un peu de ménage numérique, et donc de bien terminer l’année, afin d’aborder d’un très bon pied la suivante…

PS : les plus physionomistes auront peut-être reconnu en couverture de ce petit livre bleu la version « sans culotte » du poster rieur qui se moquait impudemment d’un autre indécent monopole. 😉

Noël moins le quart

Posté le vendredi 24 décembre 2010 à 13 h 16 min dans la catégorie « BD, Couleur, Croquis, Strips » par Bruno Bellamy.

Noël 2010 : le strip
Noël 2010 : la bellaminette

Lapins cinéastes

Posté le mercredi 22 décembre 2010 à 9 h 42 min dans la catégorie « Croquis » par Bruno Bellamy.

Le tournage des lapins

Équipe de tournage des p’tits lapins : esquisse pour une carte de vœux (bah oui, 2011 c’est l’année du lapin).

BD numérique

Posté le mardi 21 décembre 2010 à 11 h 51 min dans la catégorie « BD, Couleur, Oldies » par Bruno Bellamy.

Il est beaucoup question de BD numérique, ces derniers temps.

Laissez-moi vous montrer ce qui se faisait dans ce domaine, en… 1986 !

Coussin & Confiture : Bisou Basic

Bon, OK, la résolution est pas terrible, mais j’avais que 320 X 240 pixels pour dessiner ça, en 16 couleurs parmi 512, sur un Atari 520 ST, et évidemment tout à la souris (pas de tablette graphique, à l’époque).
Fallait s’accrocher…

Ici, bien sûr, la page a été recomposée avec trois images faites séparément, et agrandies au double de la résolution d’origine (d’où les gros pixels, mais c’est ce qui fait tout le charme de la chose).

C’est paru dans ST Magazine, en un temps que les moins de vingt ans ne peuvent, et pour cause, pas connaître. 😉

NB : et pour les amateurs de paléontologie médiatique, le scénario est une parodie d’une pub TV de l’époque pour la purée Mousline, elle-même inspirée de « la Belle et la Bête » (le film de Jean Cocteau). Bon, j’avoue, j’étais un peu amoureux de la jolie princesse…:blush:

Dédicaces à vendre

Posté le lundi 20 décembre 2010 à 19 h 46 min dans la catégorie « Dédicaces, Humeur » par Bruno Bellamy.

Je lis ici et que des auteurs s’offusquent de voir revendre leurs dédicaces par des lecteurs indélicats.

À l’été 2005, une discussion sur ce même sujet entre membres de l’adaBD ayant été entamée, le très regretté Yvan Delporte m’a appelé au téléphone après que j’aie fait part de mes recherches auprès de juristes et proposé, sur le forum pro de l’adaBD, l’utilisation d’un tampon, en expliquant la portée légale du truc.

Lapin tamponnéNous avons élaboré ensemble la solution suivante : considérant que l’auteur est libre d’interdire certains usages de son œuvre (ceux qui ne sont pas explicitement exclus d’une telle interdiction par l’article L122-5 du code de la propriété intellectuelle, comme la copie privée, la citation, la parodie, etc) il peut, très légalement, rendre explicite le contrat tacite entre lui et le destinataire de la dédicace, qui pourrait s’exprimer comme suit : répondant à sa définition, qui n’est pas celle d’un « original gratuit » mais bien d’une mention autographe destinée à personnaliser l’ouvrage, la dédicace est offerte au seul dédicataire. Si ce dédicataire la conçoit comme une plus-value destinée à augmenter la valeur de l’ouvrage dans la perspective d’une revente, il sollicite abusivement l’intervention de l’auteur, qui est un professionnel, pour créer cette plus-value, en le faisant exercer son métier (dessiner des œuvres originales) mais sans le rémunérer, alors qu’il (le dédicataire) a l’intention de réaliser un profit avec ce travail.
On peut solliciter l’intervention bénévole d’un professionnel pour une opération non lucrative, mais il y a accord préalable sur les conditions de cette intervention (le professionnel est alors libre d’accepter ou pas).
Si on sollicite une « dédicace », on demande en fait au dessinateur professionnel de fournir gratuitement un original qui n’a pas vocation à générer un profit pour le dédicataire, c’est l’esprit de ce contrat tacite. Si le dédicataire a l’intention d’en tirer profit, ça n’est pas une dédicace, puisque en fin de compte le dessin ne lui est pas destiné. Il y a donc tromperie sur la demande.

Ceci n’est évidemment pas une base légale permettant à un auteur de s’en prendre à un dédicataire abusif, mais si l’auteur rend ce contrat tacite explicite, cela met les choses au clair. Informé, le dédicataire devient responsable.
L’auteur peut fournir cette information, en apposant un tampon sur sa dédicace, qui formule le contrat brièvement mais explicitement. L’astuce consiste, pour ne pas dégrader le dessin, à apposer le tampon seulement sur la signature (sans laquelle le dessin n’a que peu de valeur marchande, mais qui n’est pas en soi dégradée esthétiquement par l’apposition d’un tampon, surtout si celui-ci est d’une couleur plus légère que l’inscription de la signature).

Le tampon dit ceci :

Cette dédicace est un cadeau pour personnaliser l’album. Elle ne peut être vendue.

Ci-dessus, une image d’exemple, que j’avais réalisée justement à l’intention d’Yvan Delporte.

Plusieurs juristes, dont la responsable juridique de l’ADAGP, par exemple, m’ont confirmé la validité de la démarche.

Il va de soi que l’idée n’est pas de préparer des poursuites en justice contre des revendeurs de dédicaces, les auteurs de BD ont d’autres chats à fouetter. Il s’agit avant tout d’une démarche d’information et de prévention. Rien n’exclut, cependant, que je sache, qu’un auteur puisse poursuivre devant un tribunal un dédicataire qui aurait revendu l’œuvre sur laquelle est inscrit « ne peut être vendue », et qui aurait alors, on l’imagine, bien du mal à justifier de sa bonne foi.

J’ai fait fabriquer ce tampon à mes frais (une trentaine d’euros) et l’ai utilisé sur mes dédicaces (j’en ai fait un bon paquet) pendant une année complète, du festival d’Angoulême 2007 à celui de 2008. Le procédé a été très bien perçu, et même souvent encouragé, par les lecteurs, qui se sont fréquemment étonnés de ne voir aucun autre auteur l’employer. J’ai, à chaque fois que j’en ai eu l’occasion, montré la chose aux auteurs que je rencontrais lors de ces séances de dédicaces, que j’ai incités à réfléchir à cette option.

Personne ne m’a suivi.

À ma connaissance, en tout cas, je suis le seul à avoir utilisé ce procédé.

Au bout d’un an, considérant que, d’une part, cette démarche n’a d’efficacité réelle qu’en se « normalisant » (c’est à dire si suffisamment d’auteurs l’adoptent) et, d’autre part, qu’il était décidément vain de proposer des solutions valides et élégantes à des gens qui préfèrent se plaindre que de se prendre en main, j’ai renoncé à utiliser ce tampon.

Pour info, donc.

Et pour rappeler une excellente idée, celle de monsieur Delporte, qui en plus d’être un homme adorable était un esprit remarquable.

NB : le sujet ayant déjà soulevé, ailleurs, suffisamment de polémiques stériles, j’ai désactivé les commentaires pour ce post. Comme évoqué ci-dessus, c’était juste « pour info ». 😉

…et sans chemise !

Posté le mercredi 15 décembre 2010 à 10 h 03 min dans la catégorie « Aquarelle, Couleur, Croquis, News » par Bruno Bellamy.