Le présent blog a surtout pour spécialité de vous présenter mes croquis dans leur état « brut », sans trop de retouches ni de bricolages numériques ou autres.
Mais, faute de place, ils doivent généralement être fort réduits.
Je me suis dit que ça pourrait être intéressant de vous montrer quelques « gros plans », autrement dit des extraits des scans des crayonnés originaux, dans leur résolution d’origine.
Le fragment de « Lapin perdu » que vous pouvez voir ci-dessus correspond à un scan du crayonné à 800 dpi.

Je réalise sur le tard que je ne vous ai même pas fait profiter du crayonné de la Mère Noël 2009…

Encore des p’tits lapins contre l’expérimentation animale… 😉

D’autres lapins pour Pro Anima (cf. le post précédent).

On continue avec les p’tits lapins… 😉

Ce « fond de tiroir » est une illustration réalisée (y’a un bail) pour la brochure d’information du comité scientifique Pro Anima, pour lequel j’ai déjà œuvré par ailleurs, et qui s’emploie principalement à lutter contre l’expérimentation animale.
Je ne discuterai pas ici du sujet en lui-même (la chose est bien mieux expliquée que je ne saurais le faire sur le site de Pro Anima), c’était plutôt l’occasion de ressortir quelques lapins… :bunny:

Dans la série « les calembours débiles font de très bons sujets de dessin », voici un extrait du « jeu des lapins » que vous connaissez déjà forcément, si vous avez la chance de posséder ce fantastique ouvrage (sinon, honte sur vous, mais vous pouvez encore vous rattraper en le commandant ici)… 😉

Allez, pour changer un peu des fonds de tiroir, un petit dessin frais du jour, très librement inspiré d’un tableau de Johann Baptist Hofner… :sheep:

Un petit dessin plus tout jeune, paru dans Pirates Mag en 2003.

Ce qui est étonnant, avec ce gag, c’est qu’après 7 ans de réflexion, son absurdité soit toujours autant d’actualité.

Revenons sur une affaire qui, en son temps, aurait pu faire scandale : Sylfeline, l’héroïne (jusqu’ici fort innocente) d’une BD destinée à la jeunesse se dévêt (du moins, dans la version que j’avais tout d’abord crayonnée) sans pudeur ni vergogne devant deux personnages masculins, au risque d’inciter à penser que l’histoire va basculer dans le stupre, la luxure, voire même dans une certaine forme de laisser-aller ! Mais bon sang, que fait la police ?!

Bon, finalement, j’espère que vous l’aurez compris, quand j’ai employé le mot « censure », c’était pour de rire, hein… 😉

En fait, Marc Bati avait jugé (et je me suis rangé à son avis, même si j’ai précieusement conservé le crayonné de la très licencieuse version alternative) qu’il était plus intéressant de montrer non pas l’héroïne en train de se dévêtir, mais l’effet que cela rendait sur les témoins de la scène (nos deux lascars, Dohl-Ang et Méga). Au final ça « marche » mieux, ça me semble évident, mais je trouve que ça valait le coup de ressortir la version d’origine… 🙂