Dans la rubrique « relectures », voici ma trouvaille émerveillée du jour : L’hôpital des étoiles, de James White…

Un bouquin de SF sans prétention que j’ai lu (et relu) avec grand plaisir il y a, heu… ouah, une éternité !

…et perdu. 🙁

Et depuis des années, je révais de remettre la main dessus. Or voilà que par un heureux hasard, je tombe dessus dans une librairie d’occasion (qui fait aussi salon de thé, j’y ai bu un excellent « Tsar Alexandre »). Youpie !!! 🙂

Voilà typiquement le genre de livre que j’ai acheté pour sa couverture (un Caza absolument remarquable, de sa plus belle époque « à bulles », un vrai régal. :)), et qui m’a très agréablement surpris. En tout cas, c’est le souvenir que j’en ai gardé, et je vais bien voir, en le relisant si longtemps après, si la magie opère toujours… 🙂

En lisant l’avant-propos, je découvre d’ailleurs ce qui, à l’époque, n’avait pas éveillé mon attention : ce livre fait partie d’une trilogie ! Mince, cette quête n’aura-t-elle donc pas de fin ?

Il y aurait donc aussi dans cette série, dite du Secteur Général, les tomes intitulés Chirurgien galactique et Opération capitale.

Épilogue : finalement, on m’a offert le recueil avec toute la série, et en V.O. en plus. Je vais me régaler… 🙂

Encore un manga qui m’a beaucoup marqué, récemment.
Celui-ci parle plus particulièrement de la vocation de mangaka, à travers les doutes et les angoisses d’une jeune fille qui se destine à ce métier difficile, et donc à affronter les obstacles extérieurs (ne pas suivre la voie « normale », ne pas chercher à faire un « vrai métier », suivre son inspiration et sa vocation plutôt que la voie que la société a tracée pour nous est relativement mal vu au Japon, mais d’une certaine façon ici aussi) et intérieurs (quelle est la raison profonde -et si on la trouve, est-elle légitime ?- qui pousse à vouloir faire son métier d’une activité de création artistique ?).
L’auteur de ce manga était quelqu’un de particulièrement anxieux et torturé, et n’a jamais achevé cette série. Il est mort prématurément, laissant derrière lui une œuvre qui pose des questions essentielles, mais n’y répondra jamais. Mais de toute façon, qui peut vraiment répondre à ces questions là ?
Le dessin est magnifique, marqué d’un style très personnel, et évidemment le récit est poignant puisqu’il parle très directement du vécu de l’auteur.
Je n’ai pas acheté ce manga il y a bien longtemps, et pourtant je l’ai déjà relu deux fois… 🙂

Encore un manga qui m’a beaucoup marqué, récemment.
Celui-ci parle plus particulièrement de la vocation de mangaka, à travers les doutes et les angoisses d’une jeune fille qui se destine à ce métier difficile, et donc à affronter les obstacles extérieurs (ne pas suivre la voie « normale », ne pas chercher à faire un « vrai métier », suivre son inspiration et sa vocation plutôt que la voie que la société a tracée pour nous est relativement mal vu au Japon, mais d’une certaine façon ici aussi) et intérieurs (quelle est la raison profonde -et si on la trouve, est-elle légitime ?- qui pousse à vouloir faire son métier d’une activité de création artistique ?).
L’auteur de ce manga était quelqu’un de particulièrement anxieux et torturé, et n’a jamais achevé cette série. Il est mort prématurément, laissant derrière lui une œuvre qui pose des questions essentielles, mais n’y répondra jamais. Mais de toute façon, qui peut vraiment répondre à ces questions là ?
Le dessin est magnifique, marqué d’un style très personnel, et évidemment le récit est poignant puisqu’il parle très directement du vécu de l’auteur.
Je n’ai pas acheté ce manga il y a bien longtemps, et pourtant je l’ai déjà relu deux fois… 🙂

La pantoufle suspendue

Tiens, aujourd’hui, j’ai eu envie de trouver une idée de dessin du jour en faisant appel à mon générateur automatique de titres d’albums de BD.
Eh ! Autant qu’il serve à quelque chose, non ? 😉
Et j’me suis pas dégonflé, j’ai pris le premier titre qui est sorti (« la pantoufle suspendue », donc).
Quoi, « que fait une nana à poil dans cette image ? ».
Ben si ça se trouve elle est même pas toute nue, d’abord… P’t’être qu’elle a une culotte, ou des moufles, ou même des pantoufles.
Ben oui, c’est pas forcément SA pantoufle qui flotte dans le vide au-dessus d’elle…

Il y a très exactement cinq ans, jour pour jour, naissait Showergate…

Certes, ça ne s’appelait pas encore comme ça, ça n’était qu’une modeste esquisse dans une rubrique « croquis de la semaine » sur bellaminettes.com, ça n’était pas encore dans un site dédié, et surtout je n’imaginais pas encore -même si je l’espérais déjà un peu ;)- que ça deviendrait un jour une « vraie » BD, mais c’était bel et bien le croquis fondateur de tout le projet.

Peut-on rêver meilleure opportunité que cet anniversaire pour annoncer la création du ShowerBlog ?

Comme expliqué dans la page d’intro, la mise en place de plusieurs rubriques voisines accumulant chronologiquement du contenu thématique, sur un site qui a débuté, dans l’esprit comme dans la forme, comme ce qui fleurit désormais un peu partout sous l’appellation de « blog-BD » m’a conduit à la conclusion logique qu’il ne restait qu’à franchir le dernier pas, en regroupant le tout sous une interface permettant de naviguer aussi bien dans l’historique des posts qu’en fonction des thèmes abordés.

Dans la foulée, le site bénéficie d’une remise en forme complète (avec notamment un nouveau logo, inspiré de celui qui figurera sur la couverture des albums, et une présentation améliorée du site, avec une feuille de style qui, espérons-le en tout cas, devrait convenir à tous les navigateurs), et la dernière page du blog, étant très logiquement celle qui colle le plus à l’actualité, devient la page d’accueil du site.

Ceux qui sont déjà des habitués de la maison continueront, je l’espère, à venir trouver ici esquisses et informations, et les nouveaux venus pourront naviguer tout à leur aise dans un contenu déjà abondant, et découvrir la série BD qui a germé en ces pages et aura, prochainement, les honneurs d’une publication en album aux éditions Delcourt… 🙂

D’ici là (mais pas seulement, j’espère !), visitez, explorez, profitez-en, revenez-y… et que l’Esquisse soit avec vous ! 🙂

Et bien sûr, si vous appréciez le ShowerBlog au point de souhaiter le faire connaître, n’hésitez surtout pas à mettre un lien pointant sur https://showergate.net/blog/ et utilisant (éventuellement) le petit bouton ci-contre :

Je viens de découvrir ce manga de Kiyohiko Azuma, qui a aussi commis « Azu manga daioh », et je me suis régalé. 🙂
Le truc, c’est que tout ce qui est vraiment rigolo dans cette histoire est tellement typiquement japonais, et tellement lié à ce qui fait le quotidien de la vie japonaise, que je ne sais pas du tout si on peut trouver ça drôle si on n’a pas déjà mis les pieds au Japon. Et c’est vraiment le cas de le dire : l’un des gags repose, par exemple, sur le fait que la petite héroïne (Yotsuba), qui donne son nom à la série, sort dans la rue en portant les pantoufles qu’on ne met en principe que dans les toilettes.
Au Japon, c’est vraiment ridicule, mais ici, difficile d’imaginer si ça va vraiment toucher le public.
Espérons-le, en tout cas, comme ça je pourrai lire la suite. 🙂

Je viens de découvrir ce manga de Kiyohiko Azuma, qui a aussi commis « Azu manga daioh », et je me suis régalé. 🙂

Le truc, c’est que tout ce qui est vraiment rigolo dans cette histoire est tellement typiquement japonais, et tellement lié à ce qui fait le quotidien de la vie japonaise, que je ne sais pas du tout si on peut trouver ça drôle si on n’a pas déjà mis les pieds au Japon. Et c’est vraiment le cas de le dire : l’un des gags repose, par exemple, sur le fait que la petite héroïne (Yotsuba), qui donne son nom à la série, sort dans la rue en portant les pantoufles qu’on ne met en principe que dans les toilettes.

Au Japon, c’est vraiment ridicule, mais ici, difficile d’imaginer si ça va vraiment toucher le public.
Espérons-le, en tout cas, comme ça je pourrai lire la suite. 🙂

C’était le dernier jour, j’y suis allé à temps !

Impressionnant de voir les chefs-d’œuvre des musées de Florence…
Celui-ci m’a particulièrement marqué : un portrait fait par Andrea Del Sarto (1486-1530).

L’expo « Miroir du temps »
au Musée des Beaux-Arts de Rouen

Qui a dit que les chats retombent toujours sur leurs pattes ?

Quelques rares croquis viennent s’ajouter sporadiquement, mais surtout, les pages du tome 1 avancent…
Je termine tout le story-board (j’en suis à la page 40, donc pas loin de la fin !) avant de finaliser la dernière partie de l’album. 🙂