De retour du FestiBlog BD.

Content d’avoir rencontré tout un tas de gens très sympas, d’avoir fait tout un tas de petits dessins plus ou moins réussis mais qui, au moins, auront eu le mérite de faire plaisir (enfin j’espère).
Un peu peiné aussi d’avoir dû constater que mes sketchbooks parus chez Comix Buro n’étaient pas en vente sur le stand du libraire, alors que j’avais bien donné, il me semble, aux membres de l’organisation toutes les infos utiles pour qu’ils puissent se les procurer.
Le libraire s’est démené, a appelé des collègues, et a finalement pu, pour le deuxième jour, se procurer quelques exemplaires du sketchbook #2. Mais bon, j’avais un peu les boules… Ça a p’t’être l’air idiot, mais y’a des années de travail qui sont concentrées dans ces p’tits bouquins, et plusieurs semaines de boulot ardu pour les mettre en forme. Songer qu’ils n’étaient même pas en vente parce que quelqu’un a peut-être (sans faire exprès, je sais bien) été un peu vite pour transmettre les infos à la bonne personne, ben voilà, j’avoue, ça me rend un peu grognon. Désolé. 🙁

Et du coup je reviens de là avec un vague sentiment de vide idiot, ainsi que le laisse deviner le titre de ce post, qui en réalité est plus directement lié avec ce qui suit :

Le plus important pour moi c’est que ce W.E. j’ai découvert l’oeuvre de Black Frog. J’étais assis à côté de lui le premier jour, et le gars m’a donné envie de lire son bouquin. Et j’ai été sidéré.

Je vais pas vous faire une critique littéraire à la noix. Lisez-le ou pas, faites comme vous le sentez. Moi je l’ai lu, et ça m’a épaté.