Étude de personnage

Posté le samedi 6 septembre 2008 à 12 h 13 min dans la catégorie « Croquis » par Bruno Bellamy.

Étude de perso simplifié
Je prends très souvent, notamment quand je suis en vadrouille (là je profitais quelques instants de l’atelier d’un pote, en attendant un train), toutes sortes de notes, textes et croquis, en préparation de moult futurs projets car, bien évidemment, il faut penser à l’après Showergate…

Je m’essaye, en ce moment, à la conception de personnages au dessin simplifié, par rapport à ce que je fais dans Showergate, justement. L’idée étant évidemment de gagner du temps, mais avec autant, sinon plus, d’expressivité, pour privilégier la narration. Parce que mince, il s’agit d’histoires, et comme je dis souvent, ce qui compte, c’est que ça raconte.

Ci-dessus, donc, un test parmi d’autres…

Pas si simplifié que ça, à vrai dire, mais bon, c’est juste un test, hein. 😉


3 commentaires pour « Étude de personnage » :

  1. tchoubou a dit :

    rho bah elle est mimi tout plein. 😳

    et voir le lien vers le comptoir, ça me rappelle qu’il faut que je passe découvrir le lieu maintenant que c’est sur ma route 😮

  2. Flora a dit :

    J’allais justement dire que je ne la trouvais pas si simplifiée, quand j’ai lu ta dernière phrase. ^_^
    Ce serait pour un nouveau projet BD ?

  3. Bruno Bellamy a dit :

    @Tchoubou : téléphone avant, les horaires sont un peu variables. Mais ça vaut le coup d’y aller, c’est sûr ! 🙂

    @Flora : ça ne se voit pas beaucoup du fait que les jambes sont invisibles et que la veste a des manches, mais il s’agit notamment de simplifier le tracé des membres (un peu plus « tubulaires », on va dire). Il n’y aurait alors besoin que de respecter (à peu près) les proportions des longueurs, sans trop se préoccuper de bien mettre un creux ici et une bosse là… Idem pour la forme des pieds et, dans une moindre mesure, pour celle de mains.

    Restent les proportions générales et, surtout, la forme du visage.
    Là, j’ai beau faire, à chaque fois que j’essaye de simplifier, ça tend vers un truc enfantin. Donc j’ai deux solutions :
    -soit je considère ça comme un défaut, et je m’obstine, quitte à dessiner de la main gauche pour lutter contre les habitudes (un bon exercice, par ailleurs !)
    -soit je considère que ça n’est pas un problème, que ça fait partie de mon style, et j’essaye de voir dans quelle mesure ça contribue à l’esprit du récit, ou de quelle façon le compenser (par les expressions, etc)

    Mais ça n’est qu’une étape, il faut que je cherche encore…

    Et oui, ça serait pour un de mes nombreux nouveaux projets… 😉

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